Commentaire de Jean Pierre :
La jeunesse est aussi en première ligne… désormais à partir de l’âge de 14 ans, elle risque la perpétuité !Tous les moyens sont bons à la Douma, y compris les votes frauduleux pour les absents comme on peut le voir.
Mise à jour : 29-10-2025
Le projet de loi sur des peines plus sévères pour les crimes subversifs a été adopté en première lecture. Les députés ont examiné l’initiative le 28 octobre. La Cour suprême (SC) et le gouvernement de la Fédération de Russie ont soutenu le projet d’amendement aux lois sans commentaires, a déclaré la vice-présidente de la Douma d’État Irina Yarovaya (« Russie-Unie »). Les mesures proposées signifient que la responsabilité viendra inévitablement, a-t-elle ajouté, a écrit « Vedomosti ».
Selon le site Web de la Douma d’État, les amendements ont été apportés par 419 députés de toutes les factions le 20 octobre 2025. L’initiative établit la responsabilité des organisateurs d’activités subversives et terroristes non seulement pour l’organisation et le leadership de la communauté subversive, mais aussi pour les crimes qu’ils ont commis.
La responsabilité en vertu d’articles subversifs commencera à l’âge de 14 ans, c’est-à-dire avec des crimes tels que le meurtre, l’acte terroriste, la prise d’otages, etc.
La propension d’un mineur à des activités terroristes ou subversives sera passible d’une peine d’emprisonnement à perpétuité.
Le projet de loi annule le délai de prescription pour les crimes subversifs :
Sabotage (art. 281 du Code pénal), promotion des activités subversives (art. 281.1 du Code pénal), formation à des fins d’activités subversives (art. 281.2 du Code pénal), organisation d’une communauté subversive et participation à celle-ci (art. 281.3 du Code pénal). Il introduit une interdiction de la peine avec sursis pour participation à une communauté de sabotage et restreint le droit de demander une libération conditionnelle. Ce ne sera possible qu’après avoir purgé au moins les trois quarts de la peine.
Dans la note explicative du projet de loi, les initiateurs ont écrit : « Dans les conditions d’une opération militaire spéciale, la solution de telles tâches nécessite des actions supplémentaires de notre part.«